Et si je continuais l’expérience avec Medibang Paint Pro ?
J’ai ressorti ma vieille tablette bamboo ( elle peut même être utilisée sans fil grâce au Wi-fi) pour un essai d’encrage.
Elle reconnait la pression, voilà ce que donne la » G.pen » sur Medibang.
Il suffit de placer son pointeur sur la fenêtre des pinceaux pour les changer de taille d’un simple coup de roulette de souris.
Le chiffre à côté du noms des brosses correspond à leur taille par défaut, ce chiffre change avec tes nouveaux réglages.
Medibang Paint pro accepte les fichier JPG, tiff, png, bitmap (bmp), PSD, webp, et a son propre format le mdp.
J’ai également choisi un dessin au crayon que je vais m’empresser d’ouvrir dans mon logiciel.
C’est un fichierTIFF.
Il est un peu petit (10X15cm) et seulement à 200 PPI.
Mais c’est juste pour l’exemple.
J’importe mon dessin, j’ajoute un calque pour encrer par dessus l’original.
Le navigateur (à droite) permet de s’orienter dans le dessin.
Il suffit d’un coup de roulette pour les zoom avant et arrière.
Le carré rouge te permet de te déplacer facilement sans avoir à utiliser les ascenseurs.
Détail sympathique : En approchant le pointeur, tu vas découvrir une réglette qui permet de tourner ton dessin dans tous les sens pour être plus a l’aise.
Tout se passe presque bien.
Je n’ai pas trop l’habitude et les traits sont un peu maladroits.
Mais je vais les rectifier.
Je vais masquer mon crayonné.
Un clic sur le petit point devant le nom du masque peut le faire disparaître.
Les carreaux montrent que le fond du masque d’encrage est transparent.
Je vais tester le pinceau » Pen sharp « .
Il va amincir automatiquement les extrémités de tes traits et faire un peu plus de » pleins » et de » déliés « .
Avec de l’entrainement je vais m’améliorer.
Autrefois, les écoliers écrivaient à la plume et à l’encre avec la célèbre plume sergent-major, (aujourd’hui, ce sont les mangakas).
Ecrire à la plume n’est pas aussi simple qu’avec un stylo à gel.
Elle est plus exigeante, il faut la tenir de la bonne façon sinon c’est les grosses tâches assurées.
Il y a aussi toute une technique pour bien tracer ses lettres.
Les traits qui montent sont dessinés d’une plume légère : le délié.
Les traits qui descendent sont plus appuyés : le plein.