L’esprit libertaire, le partage et la gratuité font partie des valeurs d’Internet.
Les premiers auteurs de webcomics s’amusent et partagent leurs plaisirs.
La rentabilité n’est pas leur problème et tant mieux pour les lecteurs.
Des amateurs mettent régulièrement leurs oeuvres en ligne et beaucoup sont de bon niveau.
Des pros se joignent à eux pour publier des oeuvres plus personnelles.
comme dans le site expérimental 8comix aujourd’hui disparu.
La complicité de la Caisse d’épargne et de son célèbre écureuil permettaient à leur site Esprit BD de présenter, un temps, des expériences sympathiques et même des concours.
Bien sur, ça va…ça vient…
Heureusement tout n’a pas disparu.
La gratuité peut également être un » produit d’appel » à des fins publicitaires pour des éditeurs.
Comme Iznéo pendant un certains temps.
Comme les Humanoïdes associés avec » Le gratuit du mois « .
L’internaute peut ainsi profiter de nombreuses occasions de se divertir gratuitement.
On peut suivre sans problème les blogs et les sites pour trouver webcomics, BDs et mangas à l’oeil.
Il suffit de rechercher régulièrement les nouveautés (Google est ton ami)
Mais aussi fréquenter les portails qui regroupent de nombreux sites réguliers.
(2007) Qu’on ne présente plus mais qui bat de l’aile.
– Adbel-INN
(2000) Devenu BD-en-ligne/stories
– Amilova
(2010) Tu peux lires gratuitement ou publier tes BDs, et même les vendre en E.book PDF.
– Grand papier
(2007) Projet de la maison d’édition L’employé du Moi
– Le Portail Lapin de Phiip propose de nombreuses séries de webcomics originaux ou traduits depuis 2001.
Il compte au moins 10 000 pages de BD.
Elles sont parfois reprises en albums par les Éditions Lapins (2005).
Les magazines numériques ne sont pas en reste.
Avec des titres qui se conjuguent également en gratuit.
Si tu peux lires dans une autre langue, la toile est à toi.
En anglais :
Certaines BDs américaines commencent à tomber dans le domaine public.
Personne ne peut plus empêcher leur consultation.
Ces comics américains ont un musée » On-line » qui leur est consacré.
On peut les feuilleter ou les télécharger après inscription.
Il y a des découvertes à faire si tu es curieux.
Toujours en anglais mais c’est de la Bd coréenne.
– tenmanga
En japonais :
Le site J.comi de Ken Akamatsu, aujourd’hui Mangaz a voulu permettre de lire en toute légalité des œuvres épuisées victimes de piratages.
Ici c’est la publicité qui permet de rémunérer les auteurs qui ont donnés leur accord à cette lecture en ligne.
Le site a évolué puisqu’on peut également aujourd’hui acheter un PDF de l’album.
En coréen :
Mais le dessin n’est-il pas une langue universelle ?
Ici ce sont des Webtoons ou scroll-manga.
Il faut scroller, C’est-à-dire utiliser l’ascenseur pour lire de haut en bas.
N’oublie pas, Google est ton ami.
Bonne chasse.